Le premier est ce que l'on nomme un recul, et le dernier un arrêt ou échappement pour les horloges. Les mêmes lettres Indiquent la même chose dans les deux ligures. L'ancre H, L, K se meut autour de son axe a par l'action du balancier. Entre les deux extrémités ou palets H, K est placée la roue d'échappement A, dont les dents viennent alternativement contre la face extérieure du palet K et contre la face intérieure du palet H. Dans le n° 289, ces faces sont coupées en courbes concentriques à l'axe a, et, par conséquent, pendant que l'une des dents est contre le palet, la roue reste parfaitement en repos : de là le nom de repos. Dans le n° 288, les surfaces sont de formes différentes ; il est bien évident que, chaque forme n'étant pas concentrique avec l'axe a, il doit se produire un petit recul de la roue pendant l'échappement de la dent, et ainsi le terme recul s'explique. Les palets se levant à chaque oscillation du balancier, les extrémités des dents glissent le long des surfaces c, e et d, b et donnent suffisamment d'impulsion au pendule.