|
* 08.04.1808
|
Paris
|
Né
|
|
1817
|
|
Invention d'un petit dévidoir qui lui servit à recueillir la soie des cocons de vers à soie qu’il avait élevés. Cette machine, qui existe encore dans le musée de son inventeur, est une véritable merveille.
|
|
1828
|
|
Employé dans une maison de commerce de soie.
|
|
1828
|
Nuremberg - Allemagne
|
Formation pour apprendre la langue allemande pendant 2 ans.
|
|
1830 - 1832
|
Paris
|
Engagé chez M. Jecker, opticien, époque à laquelle il s’établit à son compte, 12, rue Vendôme. Alors commence la véritable carrière de Bourdon.
|
|
1832 - 1833
|
|
Honneurs : Médaille d'argent par la Société d’encouragement pour un modèle de machine à vapeur à cylindre en verre.
|
|
1833 - 1835
|
|
Construction de divers modèles de machines de démonstration, dont on trouve les spécimens dans les collections des différentes écoles de France et de l’étranger.
|
|
1835
|
Paris
|
Fondation des ateliers (74, faubourg du Temple) pour la construction de machines-outils et de machine à vapeur.
|
|
1839
|
|
Construction d'une de ses premières locomotives.
|
|
1849
|
Londres
|
Honneurs : Obtention d'une médaille d'or à l'exposition pour ces 2 brevets.
|
|
18.06.1849
|
|
Inventeur du manomètre métallique du même nom que lui. Obtention d'un brevet.
|
|
1851
|
|
Honneurs : Bourdon fut nommé chevalier de la Légion d’Honneur.
|
|
† 29.07.1884
|
Paris
|
Décédé
|
Newsletter
Cliquez pour agrandir
DMG-Lib
Europeana
